D’une manière globale concernant les séries existantes, aucune implantation nouvelle n’est à relever chez Fleurette. Cependant, la marque a développé une gamme inédite sur Mercedes Sprinter. Une première ? Pas tout à fait, puisque Fleurette s’y est essayée dans les années 1990 avec Le Souchet, un profilé sur base Sprinter qui n’est pas resté dans les annales. De l’eau a coulé sous les ponts et Fleurette a décidé d’explorer un nouvel horizon avec l’utilitaire à l’Etoilé. Avec ses aides à la conduite de série, son niveau de finition…, le Mercedes Sprinter est de plus en plus prisé sur le marché, du moins sur le secteur Premium. Place donc à la série Elister qui se compose de deux implantations sur une longueur commune de 7,29 m.
On retrouve dans ces modèles, un salon face-face surmonté d’un lit de pavillon de série et une salle d’eau en deux parties. La différence s’opère en partie arrière avec des lits jumeaux pour le 73 LJF et un lit central pour le 73 LMF. Cette série mise également sur l’autonomie avec, d’origine, un panneau solaire, une batterie lithium 100 Ah ainsi que le chauffage sur carburant (4 000 W).
On retrouve également le Truma D4 – une autre partie des évolutions majeures – dans les séries comme Migrateur ou Magister. La première, dont la particularité réside dans la largeur de sa cellule (seulement 2,20 m), conserve ses trois implantations phares : le 60 LG (lit à la française/5,99 m) qui gagne 5 cm en salon, le 64 LDF (lit à la française/6,47 m) et le 65 LJG (lits jumeaux/6,59 m). Les Magister, eux, sont des profilés classiques pourvus, de série, d’un lit de pavillon. Trois plans restent aussi au programme avec le 67 LO (sans lit au plancher/6,77 m) et deux lits centraux sur 6,97 m (70 LMF) et 7,38 m (74 LMF).
Enfin, la gamme des intégraux Discover maintient les trois agencements (71 LMF, 74 LJG et 75 LMF). Fleurette les commercialise de base avec la boîte automatique AT8.