Westfalia surfe sur la vague du néo-rétro pour décliner une 3e variante de son Kepler. Le look du Sixty s’inspire des vans des années 60 et en met plein la vue avec sa carrosserie blanc Candy et rouge cerise assortie à sa sellerie TEP Tennessee, son mobilier et sa toile de toit relevable. L’aménagement s’inspire de celui d’un California VW. Il fait appel à une banquette biplace coulissante (et amovible), une table centrale démontable, des sièges cabine avec embases rotatives et une kitchenette fixe. Placé sur le flanc gauche, son bloc dispose d’un petit évier, d’un réchaud, d’un réfrigérateur et de tiroirs. Le tout se prolonge vers l’arrière par deux rangements fermés par des stores à lamelles.
Malgré sa compacité, le Sixty accueille convenablement quatre personnes pour la nuit. Deux peuvent s’installer en partie inférieure, après transformation de la banquette, sur un lit ferme et de taille correcte (200 x 122 cm). Les deux autres trouvent refuge dans le pavillon, une fois le toit relevé, où ils accèdent à un matelas peu épais (190x120 cm), mais reposant sur un sommier à tulipes Froli. En l’absence d’échelle, l’accès au couchage supérieur se fait via le siège passager. Pour assurer la sécurité des enfants, un filet antichute est livré de série.
Plus proche d’un Kepler Six que d’un Kepler One, le Sixty se démarque surtout par sa présentation et ses équipements de série. Certains, comme la casquette de toit en polyester ou les pièces chromées (jantes, seuil de portes et de coffre, barrettes des flancs arrière, poignées de portes et clignotants) sont même inédits. Westfalia propose ce modèle en motorisation diesel (2.0 TDI) ou essence (2.0 TSi) affichant pas moins de 150 ch. La valeur réelle de tous ces accessoires représente un avantage client de 4 325 €. Pour sa phase de lancement…